22 mars

Douxième journée


Lie Still
De : Sean Hogan
Avec : Stuart Laing, Nina Sosanya, Robert Blythe, Susan Engel, Granville Saxton, Tat Whalley, Tim Barlow, Iona Mosley

Critique à chaud par Gam
En voilà un appartement peu engageant. Il faut dire que John n'a plus une thune, enfin si mais pour son herbe et que sa copine ne veut plus de lui. A la rue et les poches troués, il n'a pas trop le choix et il en a besoin pour redémarer sa vie. Puis le proprio à déployé tout son l'art pour le conviancre. Mais quelle idée, il aurtait dû suivre le conseil de sa voisine... fuir... fuir à tout prix, ce lieu où les portes ne mènent nul part, où les cauchemares le hante et où les locataires cache quelque chose de sombre et de maudit.

Chouette comme résumé, n'est-ce pas ? Oui, et bien ça s'arrête là. Le film est du type hypnotique tourné avec 3 €. Sean Hogan tout embarque dans l'autopsie les échecs cumulés de John qui finissent par rendre malade.
Doit-on croire que cette maison est maudite ? Nul ne le sait dans le scénario est brouillon et trouble. On en ressent une indigestion, tant les effets cinématographique d'étudiant nous tapent sur les nerfs. Long à voir et très vite oublier... suivant...


Death Trance
De : Yuji Shimomura
Avec : Tak Sakaguchi, Yukhi Takeuchi, Takamasa Suga, Kentaro Seagal, Yoko Fujita


Critique à chaud par Gam
Grave est rapide, imbattable, il est un samouraï. Fier de son statut il affronte tout et n'importe quoi. Du moment que cela fasse du bien à son égo.

Lassé de se frotter à du menu larcin. Il décide de partir à la recherche de celui ou celle qui lui donnera satisfaction. Or il exsiste quelque part un cercueil légendaire qui enferme la Déesse de la Destruction.
Seul un sabre unique peut la vaincre et un seul guerrier unique peu le manipuler...

Seulement, Grave n'est pas encore réveillé, quelque chose dort en lui, il ne le sait pas encore.

Yop, voici venu du Japon une adaptation d'un manga. Quoi ça vous étonne ? M'enfin ! Death Trance remplit son contrat avec un Tak Sakaguchi au sommet de sa forme. Au menu, moto, sabres, mythe, légende, castagne et démon. Dans une forme qui prend le pas sur le fond.

Oui c'est bien fichu, Death Trance à l'art de bien flatté notre rétine fâtigué par un Lie Still soporifique.

Il nous donne son qu'on lui demande, du fun !