cinetotale
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  GalerieGalerie  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
Le deal à ne pas rater :
Code promo Nike : -25% dès 50€ d’achats sur tout le site Nike
Voir le deal

 

 12 mars

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Gam
Admin
Gam


Nombre de messages : 981
Age : 55
Date d'inscription : 04/03/2006

12 mars Empty
MessageSujet: 12 mars   12 mars EmptyDim 12 Mar - 15:28

Deuxième journée

12 mars 1189
Running Scared
De : Wayne Kramer
Avec :
Paul Walker, Elizabeth Mitchell, Cameron Bright, Vera Farmiga, Chazz Palminteri

Critique à chaud par Gam
On nous avait prévenus, Sin City c'est DisneyLand et Running Scared, un enfer réel.
Alors, oui, je le confirme, c'est speed, très graphique. Wayne Kramer nous offre une mise en scène endiablée, qui tout le long du métrage, conserve une identité visuelle bien marquée. C'est beau et on applaudi la maestria technique. La violence extrème ne nous épargne rien aussi bien dans l'aspect visuel, le language et la morale à faire palir un moine.

Le film démarre à 200 à l'heure et ne baisse pas de régime jusqu'à la fin. Il nous narre dans un énorme flash-back de 18 heures, la course folle d'un gars à la poursuite d'un révolver qui à prit la malle. Le scénario très rétor et habile, ne nous épargne pas de quelques twist savoureux et d'un humour noir qui fait mouche.

Paul Walker (Fast & Furious) méconnaisable, reçoit enfin un rôle digne d'intérêt.

Bande annonce :
http://www.runningscaredthemovie.com/


12 mars 1125
Somne
De : Isidro Ortiz
Avec : Oscar Jaenada, Goya Toledo, Chete Lera, Nancho Novo, Ivan Hermes, Jordi Dauder, Gary Piquer, Txema Blasco

Critique à chaud par Gam
On est loin du génial Fausto 5.0. Mais où est donc passé le talent de Isidro Ortiz ? Peut-être dans une prochaine oeuvre ? En tout cas pas dans Somne. Les termes les plus adéquats pour califier ce film sont : soporifique et confu. Malgré les moyens, on n'accroche pas, il se perd dans des dialogues scientifique ennuyeux au possible qui nous à obliger à quiter la salle au bout de 30 minutes. Dommage on l'attendait beaucoup.
Un film n'avait jamais aussi bien porté son titre...


12 mars 1274
Meatball Machine
De : Yudai Yamaguchi & Junichi Yamamoto
Avec : Issei Takahashi, Aoba Kawai, Toru Tezuka, Ayana Yamamoto

Critique à chaud par Gam
Voici le cas typique d'une scénariste inspiré lors de l'écriture du cultissime Versus (Ryu Kitamura), mais qui l'a perdu en route. Seulement à la réalisation, n'est pas Kitamura qui veut.
Pourtant, il démarre bien, avec un petit cortège de quelques scènes bien gore, mais après... plus rien.
On tombe dans une histoire d'amour insipide qui fini en combat à mort entre homme/machine mais qui ressemble plus à un copier/coller d'un X-Or.
L'idée de départ était alléchante. Des machines organiques prennent pour hôte des humains pour se servir d'eux comme véhicules, lors de combats à mort, entre eux.
Seulement on s'ennuie, ce n'est pas du tout inspiré et la mise en scène est poussive jusqu'à une indigestion visuelle qui donne mal à la tête.
Ce pitch de départ qui nous parle de fusion entre le métal et la chair, aurait certainement donné quelque chose de passionant entre les mains d'un Tsukamoto ou d'un Cronemberg.
Mais c'est raté...


Dernière édition par le Mar 14 Mar - 12:52, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
http://cinetotale.superforum.fr
londinium
Modérateur
londinium


Nombre de messages : 478
Age : 44
Localisation : Bruxelles
Date d'inscription : 05/03/2006

12 mars Empty
MessageSujet: Re: 12 mars   12 mars EmptyLun 13 Mar - 17:15

Houlala éprouvante soirée que celle d'hier!
Soirée demarrée en beauté avec

Running scared (la peur au ventre en VF)
Ce polar démarre sur les chapeaux de roues et vous tiens jusqu'à la fin. Gun fights, course contre la montre, ripoux, mafia, macs, deviants,... la joie quoi Smile
Ce film se compose, pour moi, en 2 histoires.. celle d'Oleg et celle du héros Joey, père du meilleur ami de Oleg.
voici le pitch tiré de cinémovies.fr
"Jusqu'à présent, Joey avait toujours réussi à jongler entre son job secret au service de la mafia italienne et son rôle de père de famille. Mais cette fois, le pire est arrivé. Le meilleur ami de son jeune fils lui a dérobé une arme qu'il cachait dans sa cave. Au-delà du danger, ce revolver est aussi une pièce à conviction impliquant les patrons de Joey dans un assassinat explosif.Joey n'a que quelques heures pour récupérer l'arme, sauver sa vie et sa famille. Il doit coûte que coûte rattraper l'enfant avant que l'une des mafias ne mette la main dessus. La nuit va être longue..."

Et en effet, la nuit sera longue.. On passera par tout les coins miteux, les pires crapules, les pires monstres (qui le sont encore plus que l'on ne le croit!--> la scène Oleg chez les Flanders.. comprenne qui pourra).. le tout à 200 à l'heure.

On est sortis assomés par ce film, de par sa longueur (2h00) et du nombre de choses qui s'entremelent..
A voir!

Une pinte pour se remettre plus tard, retour en salle pour

Somniac (Somne)

D'isidro Ortiz (Fausto 5.0), porte bien son nom.. Il demarre touuut lentement et sonne "intrigue remachée", J'ai pas tenu 30 min et j'ai été me degourdir les papattes..
Attention! Voir ce film apres "Running scared" à surement été la raison de mon ennui! Je pense que c'est une tres honnête série B qui merite une seconde vision dans d'autres circonstances. Meme joueur joue encore...

Quelques baillements plus tard arrive l'OFNI de la soirée

Meat Ball Machine

Tres prometteur sur papier, il n'en est rien.. Apres un début on ne peux plus jouissif, ce film essaye de placer une histoire d'amour entre un puceau et une fille torturée par le passé en prise avec des necro-borgs.. Ce sont des parasites qui se servent de l'homme pour se battre entre eux et se manger.. mouais OK.. N'aurait il pas mieux valu jouer la carte du délire tout simplement? Ce film, pour moi, est un gros "portnawak", avec quelques passages pas piqués des vers (mais tout se passe au début... évidemment, la suite du film frustre!). Mais le scenar' s'embourbe pour finalement arriver à rien.. Ha si.. donner mal à la tete et à se demander pourquoi on est resté jusqu'a la fin..


Bon, sur ce... Pizza, dodo et aux suivants :-)
Revenir en haut Aller en bas
http://www.eyes-wide-shoot.be/
 
12 mars
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
cinetotale :: Horror, SciFi & Fantasy :: BIFFF : les éditions précédentes :: BIFFF 2006-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser